Gestion Actif-Passif
Cette page regroupe les articles pour lesquels l’allocation d’actifs est soumise aux contraintes d’engagement d’un investisseur de type assureur, mutuelle, ou caisse de retraite.
L’accompagnement actif-passif
Cet article expose de quelle manière un asset manager peut aider ou conseiller un investisseur institutionnel dans un travail d’ingénierie financière sous contrainte de passif.
Allocation d’actifs sous contrainte de provisionnement parties 1 2 3 4 5 6 7 8
Cette étude pour une mutuelle part de certains constats et objectifs exprimés à la fois sur le résultat, les provisions et l’allocation d’actifs. Nous construisons une allocation d’actifs sous plusieurs angles, notamment en déterminant la juste proportion d’actifs amortissables et non amortissables. Ces articles illustrent l’accompagnement personnalisé que peut attendre un investisseur institutionnel.
Gestion de bilan sous Solvabilité 2
J’expose ici une approche qui me semble extrêmement pertinente pour la compréhension de la consommation de fonds propres. L’accent est mis sur l’utilisation des corrélations entre les facteurs de risque de la directive. Le résultat permet de connaître au niveau de détail choisi, la consommation de tel ou tel poste rapporté au SCR global. Ceci doit permettre d’optimiser l’utilisation de fonds propres.
Mandat de gestion sous contraintes Solvabilité 2 : le cas des obligations convertibles
Dorénavant, lorsqu’un assureur délègue sa gestion financière, il peut imposer à ses assets managers de nouvelles contraintes provenant de la directive Solvabilité 2. Celles-ci expriment la volonté (nécessité ?) de limiter la consommation de fonds propres (exprimée par les Solvency Capital Requirement ou SCR) qui se traduit par un pilotage approprié de l’exposition des facteurs de risques identifiés par la réglementation par la ou les sociétés de gestion qui doivent mettre en place des processus d’investissement adaptés.
Rapide point sur le modèle de Leibowitz
On rappelle tout d’abord quelques éléments de terminologie : le surplus est défini comme l’écart entre la valeur actuelle d’un portefeuille d’actifs et la valeur actuelle des engagements, ensuite, la rentabilité du surplus est définie comme la variation du surplus relativement au passif initial, sur une période de temps donnée.
Afin de mieux intégrer les contraintes liées au passif, Martin Leibowitz (notamment dans Leibowitz M., Kogelman S., Bader L., Asset Performance and Surplus control : a Dual Shortfall Approach, Journal of Portfolio Management, 1992, voir aussi les références complémentaires) fait évoluer l’approche de Markowitz en mettant en œuvre deux contraintes